Le timbre à date - Création : Sandy Coffinet.
Création du bloc Isabelle Simler.
D´après photos de © BIOSPHOTO Michel Rauch. © Agence Biosphoto. Isabelle Simler est la lauréate du Trophée de la Philatélie 2016 - Catégorie bloc de timbres. La majorité des abeilles sauvages est solitaire : elles ne fondent pas de colonie pérenne (pluriannuelle), les abeilles femelles construisant individuellement un petit nid au sol, sous une pierre, dans des structures creuses (trou dans un arbre, coquille d'escargot, etc.). Certaines espèces, comme l’halicte (Halictus) ont cependant une vie communautaire, sans être eusociales. Si les femelles ont parfois une même entrée de nid, elles construisent et s'occupent seules de leurs propres cellules et n'ont aucun contact avec leur descendance. D’après Wikipédia.
La plupart des abeilles sauvages n'ont pas de reine : on les appelle les abeilles solitaires. Elles travaillent pour elles-mêmes et ne font pas de miel. Farouches, difficiles à observer, elles ne sont pas agressives et ne possèdent, pour la plupart, pas de dard. La majorité des abeilles solitaires font leurs nids dans la terre ou dans les pelouses et les recouvrent de végétation. D'autres les font dans des tunnels creusés par d'autres insectes, dans le bois mort ou les tiges de bois creux et de roseaux, ou encore dans des fissures de rochers. Après une longue phase sous la forme de larve et cocon, elles ont une espérance de vie de 2 à 10 semaines. On les distingue par leur activité, des abeilles maçonnes aux tapissières, des charpentières aux cotonnières... Comme les abeilles domestiques, les "solitaires" sont en grand danger d'extinction, en raison de l'utilisation massive de puissants insecticides, fongicides et herbicides dans les cultures et les jardins, qui les désorientent et détruisent leur système immunitaire. Elles subissent aussi les assauts des acariens et du frelon asiatique... L'abeille, rappelons-le, est par sa capacité à polliniser jusqu'à 250 fleurs en une heure, un acteur essentiel de la chaîne nutritionnelle : 35 % de nos ressources agroalimentaires dépendent à 80 % de ces indispensables insectes. D’après Phil@Poste.
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