Le timbre à date - Création : Henri Galeron.
Il était une fois... Ce carnet nous entraîne dans l’univers extraordinaire des contes. Certains ont été adaptés au cinéma, en films ou en dessins animés. Tous ont fait l’objet de livres illustrés, par Gustave Doré par exemple ou par des artistes de la littérature ‘Jeunesse’, foisonnante aujourd’hui. Ces timbres nous donnent l’occasion de redécouvrir douze de ces récits merveilleux : Le Petit Chaperon rouge, Le Chat botté, Le Petit Poucet, Les Musiciens de Brême, Poucette, Le Vilain Petit Canard, Aladin, Peau d’âne, La Barbe bleue, La Belle au bois dormant, La Princesse au petit pois et Cendrillon. Ces contes tirés des oeuvres de Perrault, des frères Grimm d’Andersen et des Mille et une nuits racontent des faits ou des aventures imaginés. Ils sont anciens et ont bien souvent une origine orale. Au fil du temps, ces contes traditionnels sont devenus des textes littéraires, rédigés par des écrivains. Ils posent un regard sur la réalité par le biais du merveilleux ou du fantastique et ont souvent une morale induite. C’est le cas, par exemple, du Petit Poucet qui se trouve récompensé pour son travail et son ingéniosité et prend une revanche sur les défaveurs de la naissance. Le Vilain Petit Canard, lui, incite à ne pas rejeter l'autre parce qu'il est différent mais à essayer plutôt de le connaître et de le comprendre. Cendrillon, elle, par sa ténacité, son caractère et ses valeurs, a su trouver le bonheur malgré les obstacles que son entourage lui a mis sur sa route. Aladin a, lui aussi, triomphé des épreuves qui lui sont imposées et a gagné amour et fortune. Les contes, grâce à leurs issues heureuses ancrées dans la morale, font croire à l’enfant qui lit et au rêveur que nous sommes encore adultes, au Possible et au Merveilleux. © - La Poste - Tous droits réservés.
D’après le communiqué de presse de Phil@Poste.
En tant que grand-père raconteur d'histoires je déconseille de raconter aux petits-enfants l'histoire du Petit Poucet dont la fin est digne des plus mauvais films d'horreur ! Ou alors le faire avec beaucoup d'humour au second degré et pas mal de modifications ... |